• Lieu : Lille
• Avantages : Solution tournée vers les enjeux environnementaux, entreprise qui a une bonne santé financière, petite équipe soudée, diversifiée et bienveillante, management responsabilisant, challenges techniques intéressants
• Télétravail ? Oui
• Stack technique :

  #Angular, #JHipster, #Java 17, #Spring, #SpringBoot

• Type : cdi

Contexte du recrutement ?

La petite histoire de DooApp et leur positionnement actuel

C’est l’histoire d’une rencontre entre deux collègues, l’un, Antoine Mischler, qui souhaitait quitter le monde de l’analyse technique pour allier développement informatique et cause écologique et son futur associé, qui avait aussi des inspirations pour l’entrepreneuriat. 

Tous les deux envisageaient de créer une solution tournée vers les enjeux environnementaux et ils se disaient qu’il y avait une carte à jouer dans le secteur du BTP ! 

Étant donné qu’ils ne connaissent pas du tout ce secteur, ils réalisent de nombreux salons orientés bâtiments/environnement comme Ecobat en 2009. Ils font la rencontre d’une personne spécialisée dans la vente de portes soufflantes. Ces dernières permettent d’éviter les pertes énergétiques sur le bâtiment. 

Tout cela prend du sens avec notamment la nouvelle réglementation autour de la mesure d’étanchéité à l’air des bâtiments avec des objectifs à atteindre. De nombreux acteurs américains sont sur ce créneau mais il n’y a pratiquement aucun acteur français. 

Ainsi, ils lancent DooApp : leur mission est d’accompagner la transition du bâtiment vers des pratiques plus écologiques et plus durables en imaginant et en développant des logiciels pour accompagner les professionnels du secteur.

Ils impulsent donc le marché français, un marché de niche qui grandit, et ils grandissent avec lui. 

Au début, leur business model était un système de licence. Puis, en 2015, le produit devient une solution Saas, avec des offres spécifiques selon les usages : leurs clients, grands comptes, vont davantage opter pour un abonnement annuel ou mensuel car ils consomment régulièrement les services proposés par DooApp. Quant à la deuxième typologie de clients, des professionnels indépendants, il y a davantage un format business en mode jetons (quelques mesures de bâtiments dans le mois).

Aujourd’hui DooApp réalise un chiffre d’affaires de 500 000 €, sans lever des fonds. 

Voici les principales features développées : 

• Étape de mesure : connexion à la porte soufflante. 
• Pilotage automatique de la mesure.
• Acquisition des résultats et calcul des résultats si le bâtiment est bien étanche à l’air ou pas.
• Rapport de documentation (photos prises, documentation des fuites observées dans le bâtiment, caméra infra rouge, plan). 

Via ce logiciel tout en un, l’objectif est d’améliorer la performance énergétique des bâtiments notamment la prise en compte des fuites d’air dans les bâtiments dont les impacts sont importants : moisissures, problèmes de qualité de l’air, dégradation de la qualité niveau isolation,…

Tout récemment, il y a l’ouverture à de nouveaux marchés, impulsés par des décisions d’Etat comme la mise en place d’un Observatoire national de la Ventilation. DooApp a été sollicité pour son expertise dans le domaine et notamment pour extraire des éléments statistiques. 

Focus actualité recrutement 

Dans un contexte de croissance douce, ils recrutent un profil de développeur.se senior Java orienté.e sur les solutions web de l’entreprise. Il s’agit d’une création de poste. 

Lexique à connaître et définition des rôles chez DooApp

Etanchéité : en construction, l’étanchéité est pour une paroi, le principe constructif qui permet d’interdire le passage de l’eau sous tous ses états. Mais, dans leur domaine, on parlera davantage du passage de l’air (ne pas faire rentrer le froid l’hiver et sortir le chaud par exemple). 

Infiltrométrie : l’infiltrométrie est un test qui permet d’évaluer et de localiser les fuites d’air ayant lieu au niveau de l’enveloppe d’un bâtiment ; soit entre l’intérieur et l’extérieur.

Quelle entreprise vas-tu rejoindre ?

Date existence

2010

Nombre de personnes au sein de l’entreprise et au sein de l’équipe technique

7 personnes au sein de l’entreprise 

• 4 personnes au sein de l’équipe technique (Vianney Depauw, Midhu Moyalan, Pratima Kulkarni, Aimerick Doro)

• 2 personnes non techniques : Christopher Liénard, Direction produit, Véronique Laurent, Chargée de communication et Marketing. 

• Antoine Mischler est le co-fondateur tout en gardant des fonctions opérationnelles. 

Chiffres clés

• En France, il y a environ 900 à 1000 opérateurs.
• Ils ont 700 clients.
• Parmi leurs clients, 30% sont des grands comptes, type Socotec, Bureau Veritas.
• Le reste de leurs clients sont de petites structures spécialisées sur ce type de contrôle. Ce sont notamment des professionnels de mesures (infiltrométrie). 

Localisation

Lille, Métro 2 arrêt Port de Lille 

Quelle organisation d’entreprise vas-tu rejoindre ?

La configuration des équipes

Vu la taille de l’équipe, il n’y a pas vraiment de split défini. 

Cependant, au niveau de la stack, il y a un split web versus client lourd. 

Plus concrètement, Midhu travaille sur les problématiques web. Quant à Pratima et Vianney, ils sont davantage positionnés sur les problématiques client lourd (solution Infiltrea, installée sur PC). 

Le besoin actuel en recrutement s’oriente sur l’ensemble des projets orientés web. 

Les problématiques client lourd :

Développement du logiciel Infiltrea, leur outil principal : il y a différents modules en fonction du métier du client. Plus concrètement, les professionnels vont sur le chantier, collectent toutes les données sur le bâtiment, puis génèrent leur rapport. 

Les problématiques web : 

Il s’agit de pousser des fonctionnalités dites collaboratives afin que la solution Infiltrea s’intègre bien au système de leurs clients. Les clients passent par des API et les données sont poussées par les serveurs web. Il s’agit de DooApp Connect. 

Il y a aussi une partie orientée données statistiques : données de mesure souhaitées par les clients afin de savoir : (quelques exemples) 

• Le nombre de projets réalisés par leurs techniciens de contrôle.
• Le nombre de chantiers qui sont dans le non respect des critères environnementaux.
• Des informations utiles que leurs clients peuvent remonter aux constructeurs sur les problèmes d’étanchéité, 
• Etc. 

Sur la partie statistique, il y a aussi des besoins à l’échelle de l’Etat avec, notamment, la mise en place d’un observatoire national de la ventilation : l’idée est de recenser tous les contrôles des systèmes de ventilation des nouvelles constructions et d’en tirer des statistiques/ conclusions. 

La typologie des profils techniques

Niveau d’ancienneté dans l’entreprise	Pratima a 4,5 ans d’expérience. Vianney a 10 ans d’expérience. Midhu a un an d’expérience. Aimerick qui a presque 2 ans d’expérience.
Parité	2 femmes sur une équipe de 4 personnes. Jolie parité !
Parcours	Vianney a fait une école d’ingénieur.  Pratima et Midhu ont fait une université en Inde.
Profil technique	Profils fullstack : ils travaillent aussi bien sur la partie frontend que backend

Focus Culture d’entreprise 

Culture de recrutement	Ils sont très ouverts tant que la personne montre un réel intérêt pour la solution DooApp.  Il n’ont pas de limitation niveau background, parcours scolaire, juste des compétences Java avérées pour être rapidement opérationnel.le.
Culture de développement	Ils ne sont pas orientés uniquement delivery mais plutôt orientés qualité des développements. Ils n’ont pas la pression des investisseurs, ni même celles des clients pour développer pléthore de features sans se préoccuper de la qualité.  L’équipe technique a l’ownership sur le code. Ils sont responsabilisés. Ils participent aux décisions stratégiques, ont un lien fort et direct avec les utilisateurs et le métier.
Culture managériale	Antoine se met au même niveau que l’équipe pour aussi bien échanger sur des éléments purement techniques mais aussi pour aborder des problèmes plus humains, personnels.  En réalisant mon immersion et en écoutant les différents témoignages de l’équipe, je n’ai pas du tout senti de niveau hiérarchique dans les échanges, dans les interactions business/métiers/techniques (j’ai participé au Standup Meeting).  Antoine sollicite souvent son équipe pour appuyer une décision. Il ne navigue pas seul et mise beaucoup sur le collectif d’entreprise. Il connaît ses limites, sait se remettre en question et ne craint de dire qu’il ne sait pas ou qu’il souhaite avoir des personnes en interne aux compétences complémentaires aux siennes.

La stack technique actuelle 

Front	Angular  Couche par dessus Jhipster pour ajouter de nouvelles fonctionnalités.
Back	Client lourd : Java 8 / JavaFX (prévision de migration vers Java 21 dans l’année). Web : Java 17 / Spring / Spring Boot – Utilisation du frameword JHipster.
Architecture	Monolith
Infra	AWSElasticBeanStalk : pour automatiser la gestion des environnements sur AWS.
Data	Elastic Search/Elastic Cloud pour certains projets (et cela sera probablement utilisé également pour les futurs projets Web/statistiques). Ils utilisent différentes technos dont PostgreSQL et MongoDB. Côté, selon les projets (du plus au moins utiliser) : MongoDB, Java Content Repository, Elastic Search, MySQL. Client Lourd : Java Content Repository.
Automatisation, testing	GIT pour gérer le code partagé, hébergé sur Bitbucket. JUnit principalement + AssertJ / Hamcrest / MockitoTests unitaires. Tests d’intégration.CI/CD sur la partie web, JenkinsClient lourd : les devs exécutent les tests avant la release.  Maven 3 en tant qu’outil de gestion et d’automatisation logiciel. l’IDE qu’ils utilisent (mais sans contrainte) : IntelliJ IDEA.

Environnement méthodologique 

Bonnes pratiques de développement	Culture des tests. Framework Jrebirth pour les bonnes pratiques de programmation côté client lourd. Usage de JHipster côté web.  Pull request  + review et validation de code. Release tous les nouveaux développements dans la prochaine version du logiciel.
Cadre Méthodologique	Méthodes agiles : méthodologie Scrum.Stand-up tous les matins, vers 10h.2 à 3 semaines de sprint environ. Retours clients très régulièrement. Communication régulière en anglais.

Le profils attendu ?

Les compétences opérationnelles 

Ils recherchent un profil de développeur.se fullstack qui :

• A un niveau de séniorité entre confirmé et senior (aux alentours de 5 ans d’expérience). 

• Est fullstack avec une majeure backend. 

• Possède un background significatif sur Java, avec, idéalement, une expérience dans des environnements de travail différents. 

• A des compétences dans un contexte d’exploitation de données et sur AWS. Cela sera considéré comme un vrai plus pour le poste. 

• A une très bonne sensibilité aux bonnes pratiques de développement afin de maintenir la solution logiciel sur la durée “le logiciel qu’on développe aujourd’hui doit tenir sur les 10 prochaines années” (Vianney). Ils ont de très bons retours clients niveau qualité et support. Ils cherchent à conserver ce haut niveau de qualité dans les services rendus, réel point de différenciation par rapport à leurs concurrents. 

• A de bonnes aptitudes à parler en anglais pour travailler avec Midhu qui ne maîtrise pas encore parfaitement la langue française. 

Le quotidien du poste dans les grandes lignes 

• Développement de nouveaux services en ligne côté web. 

• APIsation client et interaction avec la solution Inflitrea. 

• Participation aux revues de code et pull requests

• Mentoring en mode pair programming avec Midhu et partage de connaissances avec l’équipe tech. 

• Travail aussi sur des problématiques d’architecture afin de bien comprendre les différentes évolutions techniques à prévoir et afin de bien mener les nouveaux besoins clients, du front au backend. 

• Travail de documentation donc de transmission : capacité à être responsable de son code, à comprendre les enjeux futurs de celui-ci. 

• Travail sur l’ensemble des couches du logiciel : interface côté frontend, automatisation, couche sécurité, etc. 

Les challenges techniques 

• Le secteur sur lequel ils interviennent est en plein développement ! 

• Il y a de nombreuses features à prévoir : aussi bien bien en phase avec l’évolution des besoins de leurs clients mais aussi en phase avec les nouvelles réglementations et décisions politiques comme la mise en place d’un Observatoire national de la ventilation. Il y a aussi des interactions avec le Cerema, Centre d’études et d’expertise sur les risques, l’environnement, la mobilité et l’aménagement (il s’agit d’une administration publique). C’est un secteur qui se construit continuellement. 

• Se développe aussi chez eux des partenariats à l’international : observatoire européen, un de leurs produits, Fireprotection se commercialise avec un partenaire Allemand (produit orienté sécurité incendie avec une mesure d’étanchéité à l’air). 

• La data récoltée doit être valorisée et mieux exploitée pour accompagner en profondeur leurs clients et les grandes orientations futures en matière de construction des bâtiments. 

• Prochainement, il y aura le lancement d’une application mobile pilotée par l’équipe web. 

Les soft skills attendues

Sur la partie des soft skills il y a trois piliers majeurs : 

En lien avec leur cause 

Une personne qui est sensible au produit sur lequel ils travaillent et qui est donc attachée à son impact, à son amélioration et à sa capacité à ouvrir des portes sur les enjeux environnementaux. 

En lien avec l’équipe 

Une personne qui va s’inscrire dans une petite équipe soudée. 

Ainsi les aptitudes humaines sont primordiales pour eux : 

• Bonne communication avec l’équipe mais aussi avec les utilisateurs directs de leur solution. 
• Du respect pour bien expliquer, reformuler si besoin les choses. En effet, dans cette même logique, Midhu n’est pas encore pleinement à l’aise en français. Ainsi, il est attendu des qualités de pédagogie, une capacité à s’adapter à des interlocuteurs différents, une aptitude à exposer/expliquer les choses de façon intelligible. 
• De la patience pour bien comprendre le métier, bien intégrer les multiples enjeux techniques comme humains de la solution. 
• Une capacité à se remettre en question, à mettre les choses en débat sans le prendre personnellement. La future recrue sait donc splitter son code de ses compétences, sait reconnaître ses éventuelles erreurs et lacunes aussi.  
• Humble, penser collectif donc une personne qui n’est pas dans la quête de pouvoir à tout prix ni amoureuse de la hiérarchie d’entreprise dans la volonté de briller à son sommet. 

En lien avec la technique 

Une personne responsable de son code qui pense au futur (code reprenable, maintenable) et qui pense aussi à ses collègues (code compris et possibilité de le critiquer). Ainsi, une personne qui est capable d’expliquer ce qu’elle fait et pourquoi elle le fait. 

Une personne autonome : non pas isolée et toute seule mais qui, avec ses compétences et les éléments donnés par l’équipe, est capable de mener à bien ses tâches, de challenger les besoins et d’aller au-delà de ce qui est demandé si besoin. Aussi, une personne qui a de bon réflexes de recherche, de documentation, d’anticipation. 

En lien avec le business

Une personne qui a cette capacité à faire de la qualité son leitmotiv au quotidien : qualité de code mais aussi qualité de communication avec les multiples interlocuteurs au quotidien, qui ne sont pas tous familiers avec la technique. Ainsi, une personne investie et motivée dans cette recherche des meilleures solutions.

Une personne qui a naturellement de l’empathie envers les utilisateurs : ils sont parfois confrontés aux utilisateurs dans le cadre des interactions directes sur la partie support. Leur niveau de connaissance est très disparate. Ainsi, cela demande une certaine capacité à se mettre à la place de l’utilisateur et à l’accompagner au plus proche de son besoin sans jugement ni mépris. 

Les élément rédhibitoires : 

• Une personne qui reste renfermée dans son coin sans volonté d’échanger ni même de s’améliorer dans le quotidien de son job. 
• Une personne qui a une attitude toxique, non respectueuse avec les personnes dans l’équipe et/ou avec les utilisateurs. Ils sont très attachés à l’idée de préserver une bonne cohésion d’équipe. 
• Une personne qui n’attache aucune importance à la solution et qui postule en mode “job alimentaire”. 
• Une personne qui bâcle et n’attache pas d’importance à la qualité de son travail, qui a un manque de soin du détail, qui ne va pas au bout des choses.

Le processus de recrutement

• 1ère étape : rencontre avec Antoine. Il s’agit d’un entretien assez global pendant lequel tous les sujets sont abordés : parcours, éléments techniques, etc. L’idée est de faire connaissance. 

• 2ème étape : rencontre avec la direction produit avec d’évaluer le culture fit, les aspects humains, le matching au niveau du projet d’entreprise. 

• 3eme étape : rencontre avec Vianney pour un entretien technique plus terrain en mode pair programming. 

Ensuite, il réalisent un débrief collectif et décident ensemble si c’est un go pour une propale ou un nogo. 

Le processus de recrutement est plutôt rapide.

La rémunération, les classiques et les avantages

La rémunération cible

Target de rémunération : entre 45 et 50 K€ 

Les classiques et les avantages

• Prime d’intéressement : 2800 € brut de prime (c’est une valeur indicative par rapport à la prime de 2023. Cette valeur peut varier selon les résultats de l’entreprise).
• Tickets restaurants et ce, même en télétravail : 8 euros, dont la moitié est prise en charge par l’entreprise.
• Bonne mutuelle.
• Forfait mobilité durable : enveloppe de 250 € par an.
• 5 semaines de congés classiques.
• Contrat 35 heures.
• Ouvert au temps partiel : 4/5eme.
• Contrat cadre.

L’environnement de travail global

Les moyens, les outils de travail 

• PC portable et deuxième écran.
• IDE : ils prennent ce qu’ils veulent.
• Outils de collaboration : Slack, Jira, Bitbucket. 
• Documentation sur Wiki – Nuclino.
• Visio sur Zoom en externe et Skype en interne. 

Il n’y a pas de cadre strict sur la partie matériel.

La politique remote

Tout est pensé en interne, niveau outils/moyens pour faire du full remote (visio, slack) mais, ils apprécient se voir dans la semaine. 

Ainsi, ils ont donc opté pour un format télétravail hybride : 

3 jours en télétravail et 2 jours dans les locaux.

Il n’y a pas de jours imposés pour les moments en présentiel et ceux en télétravail. C’est en fonction des envies de chacun. 

Espace veille et formation

Ils organisent quelques après-midi de partage de connaissances. 

Ils participent à des conférences lorsqu’ils le souhaitent et lorsqu’ils peuvent. Récemment, ils ont été à l’Agile Tour à Lille. 

Ils ne sont pas fermés à une meilleure dynamique de conférence/veille technique en interne. Au contraire ! Antoine les encourage régulièrement. 

Conditions de travail 

Les horaires au quotidien sont aux alentours de ces créneaux : 9h-12h-14h-18h. 

Ils réalisent des événements plus informels du type soirées d’entreprise, fêtes d’anniversaire, etc.

Les plus/les moins du projet d’entreprise ?

Les moins

Il n’y a pas de full remote et cela peut être un frein pour certaines personnes. 

Une petite équipe implique inévitablement une bonne entente. On est moins noyé dans la masse. Cela peut déplaire à certaines personnes. 

Les clients en attendent 10 fois plus mais ils ne peuvent pas aller plus vite que la musique. Ce que je veux dire par là c’est qu’il y a de gros défis, beaucoup de sujets mais ils ne sont pas assez nombreux pour être aussi rapides. Ainsi ils temporisent grandement les demandes entrantes. 

Les salaires pourraient être plus compétitifs. 

Solution sur un secteur de niche qui nécessite de bien rentrer dans le métier. On n’est pas, par exemple, sur une solution grand public immédiatement perceptible dans son usage au quotidien. 

Les plus

Des valeurs fortes qui s’articulent sur les points suivants : 

• Innovation avec cette volonté de pousser de nouvelles technologies, être dans la recherche de solutions et l’amélioration continue. 
• Environnement : la base de la solution et des valeurs portées par les salariés en interne. Par exemple, Christopher est à la tête de la Direction Produit, est aussi adjoint au maire à la transition écologique. 
• Qualité : qualité au niveau de l’expérience utilisateur (accompagnement des utilisateurs de A à Z), au niveau du code source (produit maintenable et évolutif)  et qualité de vie au travail. 

Un management bienveillant, flexible et participatif qui pousse à l’entraide, à l’intelligence collective et au partage à tous les niveaux. Antoine sait apporter une vision, cadrer l’ensemble, trancher, formuler des critiques tout en le faisant avec pédagogie et écoute. C’est un point qui est systématiquement ressorti avec chaque personne interviewée lors de mon immersion. 

L’entreprise est stable, rentable avec une réelle vision sur le long terme. 

Les utilisateurs au quotidien sont agréables, compréhensifs et les problématiques rencontrées au quotidien sont enrichissantes et ancrées dans le réel. 

Un cadre de travail qui attache de l’importance à la qualité de code, au temps de réflexion et de conception. 

Entreprise qui incarne plutôt bien la diversité sous toutes ses formes : des juniors, des seniors, une bonne parité homme/femme, une diversité culturelle, des backgrounds scolaires multiples, etc. 

Une solution qui a de l’avenir avec un bon mix problématiques BTP et environnementales. 

Equipe tech valorisée et écoutée pour émettre des critiques, des suggestions d’amélioration, des remarques. Elle est au cœur des décisions stratégiques. Son impact est réel. 

Cadre favorable au partage, à la sécurité psychologique et à la montée en compétences. 

Il y a du challenge technique mais pas de pression sur les équipes. 

Un cadre de travail qui accorde beaucoup d’importance au bon équilibre vie pro/perso. 

Des locaux accessibles, tant au niveau des transports en commun qu’en voiture. 

Cohésion d’équipe et bonne ambiance de travail. J’ai eu l’occasion de passer du temps lors du daily meeting et sur la pause déjeuner. Nous parlions de tout dans la bonne humeur. C’était vraiment un moment agréable, simple, sans bullshit ni faux semblant. 

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